CALIFORNIA LOVE
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 a chico's gotta have his share

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AuteurMessage
Juanito "Tinta" Alvarez

Juanito

. : IT'S REALLY WACK.
ÂGE : vingt-neuf ans
QUARTIER HABITÉ : escobar pound - east venice

CRÉDITS : me & tumblr
AVATAR : yo momma.
BLAZE : da*svitania
VAGUES RIDÉES : 269


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MessageSujet: a chico's gotta have his share   a chico's gotta have his share EmptyMar 14 Aoû - 8:40

juanito "tinta" alvarez

Still making money with this criminal mentality
and haters still hating these days,
I'm still hittin' this thang with semi-automatic thangs.


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- dans cette partie, vous nous raconterez tout à propos de votre personnage. où il est né, quel jour, quelle année, son âge, ses origines. bref, tout le petit blabla habituel. vous pouvez faire de la longueur que vous voulez, l'important c'est que tout y soit (évitez de faire 5 lignes quand même) -
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كاليفورنيا البلطجية

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La salvatrucha, hein? Cuidate pero, parce qu'à L.A, la 18 n'est jamais très loin, et avec ton tatouage sur le dos, je te conseille de te mettre à la burqa vite fait bien fait. Tu pourras pas te cacher longtemps, pero, la mara hasta la muerte.
Juanito hausse les sourcils, amusé qu'un mec sorti de nulle part ose lui parler sur ce ton. Il allume la cigarette qu'il avait coincée entre ses lèvres d'un geste nonchalant, et se tourne alors vers l'inconnu en s'accoudant au comptoir crasseux du pub dont il est un habitué. Tout en tirant sur sa clope, il observe le gosse qui s'est assis à côté de lui et qui veux visiblement se la jouer en mode gangsta: c'est risible. Juanito lui souffle sa fumée au visage pour le lui faire comprendre.
« C'est à moi que tu parles, chingado ? »
Notre tatoueur n'a pas eu une bonne journée, et il n'est pas franchement de bonne humeur: il a encore sa gueule de bois de la veille, sa biatch lui a endormi cent dollars avant de se barrer faire du shopping et son beau-frère s'est fait tabasser par un mec de la fameuse 18 le matin même: il ne s'en est sorti que de justesse. Alors qu'un pauvre type vienne le voir, lui, pour le mettre en garde contre cette bande de mothafucka, c'est la goutte de merde qui fait déborder de pot de chambre; surtout quand ce mec a, en plus, les couilles de lui répondre: « Bah oui c'est à toi qu'je parle, pauvre con. Tu crois que tu peux te promener où tu veux, comme ça ? Tu devrais faire gaffe. ».
Okay, baston. Juanito se leve brusquement, bousculant son interlocuteur du haut de son mètre 87. Gardant un air calme et amusé, il tire sur sa clope une dernière fois avant de l'écraser sur le comptoir à côté de la main du gamin qui vient de le provoquer; celui-ci a un tressaillement qui trahit sans aucun doute sa nervosité. Juanito prend alors son bras et le lui tord pour voir s'il posséde les tatouage distinctifs des membres de la 18, mais se retrouve un brin déçu de voir que ce n'est pas le cas. Son visage devient alors dur, presque cruel. « Que carajo quieres ? J'sais pas c'est quoi ton problème, mais tu vas regretter d'avoir ouvert ta bouche. Tu joues chez les adultes, au cas où tu n'aurais pas remarqué.. »
Le gosse a maintenant perdu de sa superbe, et n'affiche plus la moindre assurance face à un Juanito passablement en boule qui le toise d'un air féroce. Il essaye de dégager son bras mais le tatoueur le tient trop fermement entre ses griffes. Le pub est soudainement devenu silencieux, et tous les clients les observent d'un oeil affolé. Quand Juanito s'en aperçoit, il entraîne le gamin avec brusquerie jusque dans l'arrière-cours du White Stag avant de le coincer dans un coin sombre en brique rouges; il sort alors le flingue qu'il tenait coincé dans sa ceinture à l'arrière de son jean et le pointe sur sa cible. Ils sont tous les deux essoufflés et le jeune homme semble sur le point de faire un blackout.
« Bon, maintenant t'as trente seconde pour me dire à quoi tu joues. Tu bosse pour la 18 ? Accouches !. »
Le patron sort alors du pub et se jete sur le bras de Juanito pour lui faire baisser son arme au moment où le gamin s'évanouit et tombe sur le sol dans un bruit mât.
« Qu'est-ce que tu fais Tinta ?! Laisse le voyons, c'est qu'un gamin ! C'est le fils de Dolores Vasquez, il ne bosse pas pour la 18, il est juste con.. » Le gérant fait alors un pause et jette un regard atterré sur le fils Vasquez étendu à leurs pieds; il fait un geste de main théâtral dans sa direction. « Tu vois ? »
Juanito reste abasourdi à regarder le gamin aux nerfs sensibles qui reprend peu à peu connaissance sous les claques du gérant. Il se passe une main sur le visage, essayant de réprimer le gros « WHAT THE FUCK ? » qui lui brûle la langue. Ne pouvant rester sur une humiliation pareille, et surtout parce qu'il ne tolére pas qu'on se foute de sa gueule, il donne sans crier gare un coup de pied incroyablement brutal dans le ventre du gamin puis crache à ses pieds en le pointant du doigt « Plus jamais tu me parles comme ça, hijo de puta.. »


Parait que ta mère ne travaille plus depuis un an. ton père n'étant plus là, elle est partie vivre chez ta tante. Voilà pour les nouvelles du pays. Peut-être que tu devrais penser à lui envoyer quelque chose... et tu sais qu'elle aime pas l'argent sale.
C'est un après-midi de grosse chaleur à East-Venice, et au tattoo shop "Sangre Azul", les affaires sont plutôt calmes. Juanito est en pleine séance de tatouage sur le ventre de son beau-frère Carlos lorsque ce dernier décide soudain de relancer la conversation qui s'était tue quelques minutes plus tôt. Notre tatoueur en est exaspéré: ce mec ne ferme t-il donc jamais sa grande gueule ? Apparemment pas. Et voila qu'il se met à lui parler de sa mère, comme si c'était un sujet comme un autre. Juanito fronçe imperceptiblement les sourcils, mais continue le tatouage sans lever les yeux vers Carlos.
« C'est Juliana qui t'as demandé de venir me parler, hein ?. »
Des cinq soeurs de Juanito, Juliana est de loin la plus chiante: cela fait dix ans qu'elle essaye de réconcilier Juanito avec leur mère, et, de fait, elle fait souvent passer des messages de l'un à l'autre par l'intermédiaire de son mari Carlos. Mais tout ça, notre tatoueur s'en fout pas mal, surtout après une décennie de silence radio. Son beau-frère semble pourtant décidé à creuser cette histoire coûte que coûte.
« Enfin, hermano, c'est quoi le problème exactement ? Ta mère est très gentille, tout comme il faut. Qu'est-ce que ça te coûterais de lui téléphoner ? Ou de lui envoyer des fleurs ?
- Dios ! Vas a callarte, Carlos ? J'ai pas envie de parler de ça aujourd'hui. »
Carlos secoue la tête en signe de désapprobation mais s'enferme dans un silence bougon tandis que Juanito poursuit lentement mais surement l'ornement de sa bedaine imposante du symbole de la Mara Salvatrucha. Au bout d'un petit moment, succombant au regard plein de reproches de son beau-frère, notre Juanito pousse un grognement et pose sa machine à tatouer.
«Okay, okay, arrête de faire cette gueule, tu me stresse. Ma mère "si gentille" comme tu dis... » A ce moment précis, la porte du tattoo shop s'ouvre en grinçant et une jeune femme blonde entre timidement dans la pièce lumineuse recouverte de papier peint bleu et de canapés confortables qui sert de salle d'accueil; elle tient un petit bout de papier entre ses doigts manucurés et semble mal à l'aise au milieu de cet environnement pour le moins étrange. Juanito abandonne donc son beau-frère qui se trouve dans une pièce attenante pour aller s'occuper de la demoiselle; il ressort pour l'occasion son sourire le plus charmeur, et s'accoude avec nonchalance sur le comptoir qui les sépare.
«Bonjour chiquita, je peux t'aider ? » Les yeux de la jeune femme parcourent le torse nu couvert de tatouages de Juanito avec admiration tandis qu'elle déglutit difficilement, comme pour prendre son courage à deux mains. Elle s'approche du comptoir et se penche alors vers le tatoueur pour lui murmurer d'une petite voix: «Ehh, on m'a dit que c'était ici pour acheter... pour 60 dollars le gramme... de. De la coke. Il m'en faudrait 10 grammes. »
Juanito la jauge du regard un instant, mi-amusé, mi-perplexe, puis il sort un petit carnet de sa poche et un crayon de papier. Il lui demande ensuite son nom et y inscrit le nombre de grammes qu'elle lui demande. Même si elle n'a que 20 ans, tout au plus, il ne lui pose pas d'autres questions et ne ressent ni remords ni gêne quand au fait de vendre à une adolescente une telle quantité de ce produit destructeur: chacun sa merde, et si cette gosse veut se rouler dans la poudre blanche, c'est tant mieux pour elle. Il s'éclipse quelques minutes pour revenir avec un petit sachet en plastique fermé par un noeud qu'il lui tend en souriant. Au moment où elle allait partir, il lui saisit néanmoins le poignet pour la retenir:
«Qu'on soit bien clair: tu ne me connais pas, je ne t'ais jamais rien vendu et si tu fais une overdose, je n'existe pas. » il fait une pause, pour laisser le temps à la jeune femme de blêmir et mesurer toute l'ampleur de son achat. Puis il ajoute d'un ton plus léger, un petit sourire aux lèvres «Et sinon chiquita, t'aurais pas un phone number, par hasard ? »

A la fin de la journée, après le départ de Carlos, Juanito se penche sur ses propres problèmes. Assis sur le comptoir, il ressort de sa poche le papier portant le numéro de téléphone de la jeune femme... puis il se met soudain à repenser à sa mère, à leur vie, toutes ses choses. La mort de son père par une balle perdue quand il avait 17 ans à Ciudad Juarez, son engagement à la Mara Salvatrucha la même année et le refus de sa mère de lui adresser à nouveau la parole depuis ce jour; sa haine envers elle et son abandon, et le temps fou qu'il a passé depuis lors à essayer de ne pas y penser. Et sa daily life, ses ventes de drogue à des ados, les meurtres qu'il a commis, les trafics, les deals, la peur... il aime toutes ces choses car elles lui donnent un sentiment d'invulnérabilité. Mais ce soir, il n'est plus trop fier de lui-même: il décroche le téléphone fixe qui se trouve à sa droite, et compose le numéro. La sonnerie retentit, une fois, deux fois...

«Holà mamá, cómo estás ? »


hé muchacho, si un gars de ton gang te fait un coup de pute, tu lui feras quoi ?
Juanito esquisse un sourire narquois, le regard fixé sur le plafond craquelé de son appartement. La gamine le regarde d'un air coquin, visiblement avide d'en savoir plus sur ces dangereux mareros couverts aux coutûmes si violentes. Elle est petite, blonde, cocaïnomane et nue, la tête posée sur le torse de Juanito, ses doigts jouant distraitement sur les tatouages de son amant. Notre tatoueur allume une cigarette d'un geste las, et prend le temps d'en inspirer avec délectation la fumée avant de tourner imperceptiblement la tête vers la jeune femme.
«Ce que je lui ferais ? C'est le genre de truc qui t'excites, verdad ? »
La blondinette laisse échapper un petit rire et lui caresse la joue pour l'encourager à lui répondre: «Tellement love, tellement. Vas-y, fais moi rêver... »
Juanito tire sur sa clope en souriant, puis fait rouler la jeune femme sous lui dans le lit, pour se retrouver nez à nez avec elle; il lui fait alors fumer sur cette même cigarette tout en l'embrassant dans le cou avec sensualité. Il se redresse alors légèrement pour la jauger du regard, s'amusant de ses grands yeux bleus, tellement innocents encore.
«Les "gars de mon gang", comme tu dis, sont mes frères. Ma famille. Et quand un frère de sang te fais un coup de pute, tu le prends mal, en général. Très mal. »
Il commence à caresser les cheveux de sa conquête, les enroulant autour de ses doigts tandis que la gamine, elle, enroule ses jambes autour de Juanito; elle semble apprécier l'idée du coup de pute fatal. Il tire à nouveau sur sa clope avant de poursuivre: «Et moi je suis quelqu'un d'assez conservateur, bonita. Alors on se met d'accord avec les anciens les plus proches de moi, et je monte un petit groupe punitif. On se démerde pour retrouver le mec... » Il embrasse avec délicatesse l'épaule de la gamine, «Et là, c'est parti pour treize longues... » Il l'embrasse à nouveau, «longues secondes de - comment ça s'appelle ? Ah oui, "passage à tabac". Treize, le chiffre magique. »
La gamine ouvre de grands yeux désabusés et fait la moue, légèrement déçue. «C'est tout ? C'est ça les gangsters de la Salvatrucha ? Tu parles ! » Elle se dégage de l'étreinte du tatoueur et lui tourne le dos en s'asseyant sur le bord du lit. Juanito fronce les sourcils. Il la saisit par le cou et la tire violemment en arrière pour l'allonger à nouveau sur le lit, avant de se pencher au dessus d'elle. «Tu me fais quoi là, puta ? Ce que je viens de te raconter, c'est juste en cas de mensonge. Et de manque de respect, comme ce que tu viens de me faire. » Il laisse planer un petit silence plein de menace, puis reprend, «Pour le reste, comme le meurtre d'un homie, la désertion ou le vol, c'est déjà autre chose. »
La blonde laisse échapper un rire dédaigneux tout en le défiant du regard. «Ah ouai ?! Alors, tu ferais quoi ? » Juanito a soudain un doute: serait-elle suicidaire, cette petite conne ? Il ne sourit plus, d'ailleurs, et son étreinte sur le cou de la jeune femme se raffermit légèrement; il cherche à tâtons sur la table de chevet son flingue, et le pointe sur la tempe de la gosse, lentement, et sa main ne tremble pas. Juanito se penche alors à son oreille, il lui murmure d'une voix doucereuse, «Dans ces cas là, je le retrouve, cet hijo de puta, et je le découpe en morceaux en commençant par la queue et les doigts. Puis j'en fais de la marmelade avec treize balles dans le crâne avant d'y foutre le feu. Et c'est ce que j'te ferais si tu me parles encore sur ce ton, lo pillas ? C'est ça, la Salvatrucha. ».

Contre toute attente, la bondinette éclate de rire. Elle saisit le visage de Juanito et l'attire à elle pour l'embrasser avec fougue; le marero lâche son étreinte et son arme, surpris, et lui rend son baiser avec une violence toute passionnée. Entremêlés dans les draps, sur le lit qui est un véritable champ de bataille, les deux amants reprennent leurs besogne, oubliant momentanément leurs railleries et leurs différents.
Juanito n'en a d'ailleurs rien à secouer et lui pardonne tout ce qu'elle a pu dire: les meufs, ça va, ça vient, pas vrai ?


pseudo / prénom hj; Da*svitania. Ou Sarah. Wesh.
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