Sujet: Jesus drives a Harley, the Devil wears Prada and If God was one of us, he'd probably drink vodka. Mar 14 Aoû - 20:59
JAMES "JIMI" KENDRICKS
Why don't you tell everybody what the fuck you gotta say ? Fuck the police ! FUCK THE MOTHERFUCKIN POLICE ! They have the authority to kill a minority. Fuck that shit, cause I ain't the one ! For a punk motherfucker with a badge and a gun, to be beating on, and throwing in jail. We can go toe to toe in the middle of a cell !
Même pas une semaine que j'suis sortis de tôle et déjà, vous êtes-là, après mon cul, à vouloir des putains d'informations sur moi ?! J'ai pas le droit à un beau petit cul arrondi pour fêter mon retour ? Alors la, t'inquiète, j'vais m'en rappeler de celle-là ! Si tu veux savoir un truc sur moi, on m'a toujours dit que "Lorsque tu ne sais pas où tu vas, regarde d'où tu viens". Un seul mot. Un seul endroit. A-la-ba-ma. Ouais, Alabama, il y a vingt-huit ans de ça. Dans un foutu ranch où mon vieux m'a élevé. À traire des vaches, transporter du putain d'blé et produire de l'herbe. T'as bien entendu, mec. Produire de l'herbe de haute qualité. Plusieurs serres. Une vraie foutue usine à production de cannabis à faire gicler les revendeurs d'la région. Mon vieux est un cinglé. Le genre psycho qui dort avec un 9mm en dessous de son oreiller. Le genre de psycho qui possède une armoire remplie de fusil de chasse. Le genre de psycho qui t'flinguerait dans la seconde, simplement parce qu'il lui manque de la bière dans son frigo. Et j'dois l'avouer, j'suis pareil comme mon vieux. Tel père tel fils, right ? Ma mère, elle ? Elle vit dans un de ces quartiers pourris de Compton. En fait, elle vivait. Tu vois quand une blanche habite dans un quartier de nègres... Clair que tu finis comme jouet de prostitution. Elle s'est fait abattre, lorsque j'avais dix ans. Depuis, je voue une haine profonde envers tous ces putains de négros. Avant la tôle, j'habitais dans la piaule de ma mère et je vendais d'l'herbe, d'la poudre, des pills et toutes les cochonneries possibles pour des bikers de Californie - Hells Angels restant ou les Mongols. J'en vendais aux gangs de rues hispaniques. Et les négros, eux ? Ils pouvaient bien aller se faire foutre ! Après, j'ai pris trois ans d'incacération pour trafique de drogue illicite. D'la vraie merde... Et maintenant, tu dis ? J'reviens dans le business et j'connais plusieurs enculés qui vont finir dans le coffre arrière de mon pick-up. WHITE TRASH RULES, MOTHERFUCKER !
كاليفورنيا البلطجية
① toi, un caïd ? t'as payé combien pour qu'on raconte ces conneries ?
CALIFORNIA STATE PRISON, LOS ANGELES COUNTY. 12 JUIN 2009, 01:34 PM. Mon regard se posa sur le nègre - assez baraqué - qui s'approcha de moi, confiant par son attitude. "Probablement autant qu'ta vieille, qui vend son cul pour quelques dollars." La galère. La putain galère. À peine cinq minutes après lui avoir répliqué, j'étais au sol, semi-inconscient, couvert de sang, assez amoché par tous les négros qui m'avaient sauté dessus. J'étais à l'infirmerie, blackout total. Ce jour-là, j'avais eu chaud au cul, chanceux dans cette malchance. Vous voyez en taule, pour survivre, vous avez pas grand choix. Intégrer un gang qui s'y retrouve ou faire la pute. Et dans ce foutu trou à rat, d'un côté, t'avais les nègres qui étaient en supériorité et de l'autre côté, t'avais les putains d'mexicains qui étaient doublement déjantés. J'ai dû apprendre à fermer ma grande gueule et agir discrètement, si j'voulais pouvoir sortir de cette merde, vivant. J'ai agi avec les Mexicains pendant les trois ans. J'arrivais à leur fournir d'la marchandise de l'extérieur contre une protection. Donné pour recevoir, comme on dit. Dans cette cage, tu perçois le monde d'une autre façon. Tu grandis... Mentalement. Au final, les caïds sont les mecs qui ont une grosse paire de couilles et une grande gueule, mais ils sont les premiers à se mettre à genou. Et dans cet enfer, le diable s'occupe de nous... Et nous des autres.
② apparemment, t'es de retour ? info ou intox ? enfin, je suis là pour parler affaire. je veux d'la came, d'la bonne, pas d'la daube, enfin tu connais la maison. par contre vieux, j'ai pas un rond sur moi, mais promis, je te donne la tune demain sans faute...
159TH ST, WEST COMPTON, CALIFORNIA. 06 AOÛT 2012, 23:02 PM. "[...] Par contre vieux, j'ai pas un rond sur moi, mais promis, je te donne la tune demain sans faute..." Clope à la bouche, regard inexpressif sur le visage, j'écoutai attentivement Danny divaguer dans ces propos. Ce mec est une saloperie d'rapace. Jamais un rond sur lui, essayant toujours d'profiter des gens qui l'entourent. Ses mains tremblèrent tel un véritable junkie en manque de poudre. "T'as trois jours pour me rembourser." Dis-je en lui balançant le sachet d'came qui se trouvait dans la poche arrière d'mes cargos shorts. Il attrapa la marchandise dans un geste désespéré. J'écrasai au sol ma clope, avant d'me retourner et d'ouvrir la porte de mon pick-up. "Danny... Fais pas le con." Pas très clair comme propos, vous allez me dire ? Rien à foutre. Qu'il prenne ça comme un conseil, un avertissement ou une menace... Mais qu'il ouvre bien ses oreilles parce que l'ouïe est une faculté que Dieu nous a donné et qu'il serait malheureux qu'il en perd l'usage.
APPARTEMENT DE DANNY, WEST COMPTON, CALIFORNIA. 10 AOÛT 2012, 02:00 AM. BAM. J'enfonçai d'un coup de pied, la porte en bois, devant moi. Cagoulé du visage, j'entrai dans le taudis avec deux gars, mes deux acolytes de la soirée, batte de baseball entre leurs mains. Cette rapace de Danny tenta de s'échapper par la porte arrière de chez lui... Trop lent, mon pote. Un d'mes gars lui envoya un coup d'batte directement dans le genou gauche, lui éclatant la rotule au passage. Il tomba lourdement au sol en lâchant un cri de douleur. À ce moment, je sortis de l'intérieur de mon jeans, un 9mm classique. J'attrapai son col, en lui plantant mon pistolet sur la tempe. L'ambiance dans la pièce changea aussitôt. "J'veux mon pognon." Apeuré, Danny laissa échapper quelques mots. "Ton pognon ?! Putain, t'es qui ?!" J'le foudroyai d'un regard froid, avant d'utiliser la même main qui tenait mon pistolet pour retirer la cagoule et l'envoyé au sol, laissant mon visage à découvert. Danny figea, regard crispé sur le mien. "Jimi ?!" Marre de jouer les gentils, lui envoyant un coup de boule directement sur le nez, je plaçai par la suite mon 9mm dans la bouche de celui-ci, n'ayant aucune pitié. "J't'avais prévenu de pas faire le con." Les secondes s'écroulèrent et Danny pissa littéralement dans son pantalon, terrifier par le sort que j'lui réservais. Un sourire de satisfaction s'afficha sur mes lèvres. Le genre de sourire que seul un psychopathe en avait le secret. "Les règles changent." Puis, plus rien. Aucun son, aucun bruit. Je sortis du taudis avec mes gorilles qui suivirent derrière, essuyant le sang sur mes mains, quittant le bâtiment aussi rapidement qu'arriver.
Et Danny, allez-vous me dire ? Mort ou vivant ? Interprétez cette histoire comme vous le sentez, mais un message est passé ce soir-là.
③ t'as niqué ma soeur ? fais pas ton malin, c'est ta gueule que j'vais niquer moi !
"[...] T'aurais dû l'entendre le vieux, quand il m'a balancé qu'il voulait me niquer à cause qu'j'avais niquer sa soeur." Mon vieux, assit sur sa vieille chaise berçante en bois, appartenant à ma grand-mère - RIP -, était tordu de rire. Une journée typique chez le ranch des Kendricks. À crier, boire, fumer, chasser, cultiver et toutes les bonnes choses qu'un White Trash dans notre genre pouvait faire. Mon vieux représente parfaitement le meilleur pote que j'pouvais avoir. Toujours bourré, à balancer des insultes à gauche et à droite. À se promener en caleçon avec ces Rangers de la guerre aux pieds. À ramener des vieilles traînées pour les sauter. C'est mon enfoiré de héros. "L'jeune, va m'chercher une bière avant qu'j'crève les yeux de quelqu'un." Dit-il sur un ton sérieux, mais étant sarcastique à la fois. Je me levai, avec une attitude tranquille, regardant à l'horizon, admirant le beau paysage qui donnait sur le balcon. Je me tournai vers mon père, en posant une main sur son épaule. "J'suis content d'être de retour." Dis-je avec un léger sourire au coin des lèvres avant de pénétrer dans la maison pour aller lui chercher une bière. Celui-ci assit dans sa chaise, souria à son tour, en répliquant discrètement. "Moi aussi fiston, moi aussi."
pseudo / prénom hj; OBÉLIX, t'entends ?!
Dernière édition par Catfish Jimi le Ven 17 Aoû - 16:48, édité 13 fois
Oli Saari
VAGUES RIDÉES : 289
Sujet: Re: Jesus drives a Harley, the Devil wears Prada and If God was one of us, he'd probably drink vodka. Mar 14 Aoû - 21:01
l'avatar, bordel de bite. je suis comme ça ejlvejljkvlejkfeoikopfiepife. aha, et le fuck the police me fait bien rire (façon de parler, je suis pas en train de rire derrière mon écran eho) j'ai vraiment hâte de voir ce que tu nous prépares. on attend que t'aies fini de remplir le début de ta fiche et après une de nous (admins) viendra te poser ta première question
Juanito "Tinta" Alvarez
. : IT'S REALLY WACK. ÂGE : vingt-neuf ans QUARTIER HABITÉ : escobar pound - east venice
CRÉDITS : me & tumblr AVATAR : yo momma. BLAZE : da*svitania VAGUES RIDÉES : 269
Sujet: Re: Jesus drives a Harley, the Devil wears Prada and If God was one of us, he'd probably drink vodka. Mar 14 Aoû - 21:02
l'avatar... je crois que je vais m'évanouir devant autant de sex appeal. du coup, bienvenue. vraiment, j'ai hâte de voir quel genre de personnage tu vas nous faire
Ari Rhodes
ÂGE : (PRESQUE) VINGT ANS. QUARTIER HABITÉ : VENICE BEACH.
Sujet: Re: Jesus drives a Harley, the Devil wears Prada and If God was one of us, he'd probably drink vodka. Mar 14 Aoû - 21:08
je vais passer pour une ringarde, ou alors je ne vais faire que de répéter ce qu'il a déjà été dit mais : ton avatar. et bienvenue sur calilove. j'espère que tu vas envoyer du lourd avec ce personnage. (moi mettre la pression ? du tout.)
Sujet: Re: Jesus drives a Harley, the Devil wears Prada and If God was one of us, he'd probably drink vodka. Jeu 16 Aoû - 21:22
Citation :
apparemment, t'es de retour ? info ou intox ? enfin, je suis là pour parler affaire. je veux d'la came, d'la bonne, pas d'la daube, enfin tu connais la maison. par contre vieux, j'ai pas un rond sur moi, mais promis, je te donne la tune demain sans faute...