Sujet: wyskie ▽ suga babe (the end) Dim 16 Oct - 10:31
wyskie "suga" criss " only god can judge me "
Je me nomme wyskie ou sky pour les intimes, même si mon surnom est "suga", puis mon nom c'est criss, je suis né(e) à tofino près de vancouver, il y a 20 ans. Je suis américaine depuis peu, mais je possède quand même du sang polonais, de mon paternel qui coule dans mes veines. Malheureusement pour moi, je suis en couple, avec un goujat qui ne mérite pas de voir son prénom inscrit ici et pour l’instant cette situation me convient pour le mieux, ou pas. Même si ce n’est pas simple tous les jours,je suis une ancienne stripteaseuse, mais aujourd'hui je bosse dans un magasin de surf, je suis malgré tout très épanouie, je ne vais donc pas m’en plaindre. Les gens disent que je ressemble à la belle ginta lapina ; je ne vois pas très bien qui elle peut être, mais une chose est sûre, elle doit être franchement belle.
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WAZAAAA! bon je me prénomme Julie, mais Ju' ou Juju suffira. Mon pseudo est le suivant : almost easy, par contre ça signifie kedal. J'ai la majorité, si c'est pas la classe ça et je viens de Bretagne. Sinon j'aime lire, les séries, mes amis, bref le blabla habituel. Et j'ai totalement craqué pour ce bijou et ce scénario, ce qui explique ma présence ici. ♥
Dernière édition par Wyskie "Suga" Criss le Dim 16 Oct - 13:57, édité 4 fois
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Sujet: Re: wyskie ▽ suga babe (the end) Dim 16 Oct - 10:31
« On me décrit généralement comme une fille déjantée. Il est vrai que j'ai toujours possédé un grain de folie bien particulier. Cela me rappelle le jour où mon frère jumeau et moi avions quelque peu taquiner notre vieille voisine toute aigrit et fripée. Son salon fut envahit de chèvres, de boucs et d'autres animaux. Une vraie ferme grandeur nature. Vous auriez vu sa tête, elle était au bord de la crise cardiaque, la pauvre. Nous avoir comme voisins, fut la plus belle chose qui lui soit arrivée dans sa misérable petite vie. Au moins, nous mettions un peu de joie dans son quotidien si monotone. Oui j'ai été une petite fille bien espiègle, et je pense l'être encore aujourd'hui. J'ai toujours adoré blaguer. Monter de petits coups contre mes proches ou ennemis, c'est un véritable jeu d'enfant. Cela me replonge à la belle époque. J'ai grandi entouré de garçons. Mon frère jumeau ainsi que son meilleur ami, et cela m'a forgé un caractère de garçon manqué. Grâce à eux je sais parfaitement me défendre lorsque qu'on vient me titiller d'un peu trop. Puis comme eux, je surfais. Le surf, que dire sur cette passion familiale. Même si à côté de cela, pour faire plaisir à ma mère, je faisais de la danse, le surf à a toujours été mon passe-temps favori. Je dois même dire que c'était plus qu'un passe-temps. Mon frangin et moi-même, nous nous entraînions toujours ensemble, et dans notre patelin à Tofino, les vagues sont excellentes pour ça. Je dois aussi dire que cela surprend toujours qu'une fille possédant un visage d'ange comme le mien, puisse être au fond une véritable boule de nerf. Sachez que j'en suis déjà venue aux mains à cause d'injures ou de manque de respect. Heureusement les habitants de Tofino ne connaissent pas cette partie de moi, je suis partie avant que celle-ci ne se dévoile. Je tente de faire bonne apparence, je souris sans cesse, me montre sûre de moi et fière de ce que je suis. Je suis canon, et je ne le cache pas. J'avoue dégager une image de grosse pouffiasse vachement sûr d'elle et qui n'a pas froid aux yeux. Cela cache ma sensibilité, mais comment dévoiler ce que je ressens ? Ce n'est guère une chose facile et j'en souffre au quotidien. Je fais semblant d'aller bien. Même si parfois c'est le cas, faut pas se méprendre, je ne suis pas le genre de fille suicidaire à se renfermer sur elle-même, mais par moment que je ne me sens pas à l'aise dans ma peau. Demander à mes amis qui me côtoient tous les jours. Je suis une personne bonne à vivre, qui seulement, ne parle jamais de moi ou de ce que je peux ressentir. C'est ma façon de ne pas tous dévoiler de qui je suis réellement. Une part de mystère, c'est toujours sexy et attrayant. Donc voilà dorénavant vous me connaissez mieux, du moins, vous connaissez une infime partie de qui je suis, le reste c'est à vous de le découvrir par vous même ... . »
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« Oh mon beau Teddy, qui est la plus belle sur cette terre ? » , je le fixai de mon regard intense et avec ce petit sourire au coin si apprécié par celui-ci. « Je dirais Natalie Portman ... ». Fronçant des sourcils, la paume de ma main finit par atterrir sur le derrière de son crâne. Même si cette frappe n'était pas d'une extrême violence, cela lui décocha une vilaine grimace. « Je plaisante, tu dépasses mille fois sa beauté, car tu es ma blonde adorée ! Vise les rimes ma beauté, tu crois que j'aurais une chance dans le rap ? » « Crétin ... », je lui tirai la langue pour bien illustrer mon mécontentement. Natalie Portman, sérieux ? Moi aussi je peux très bien me raser le crâne et paraître ultra canon. « Mais c'est pour ça que tu m'aimes bien, n'est-ce pas ? » « Exact, puis parce que tu es canon aussi ! ». Un petit rire cristallin s'échappa de ma bouche avant que mon portable vint couper ce moment pourtant si délicieux. Ce fut ma mère qui se trouvait au bout du fil. Sa voix était nouée, ses mots saccadés, ce qu'elle disait me paraissait être du chinois. Impossible à comprendre ce qu'elle tentait de me dire. Puis des mots me parvinrent. Je sentis mon front suer, mon coeur s'accélérer et mon corps alourdit par l'annonce s'écrouler sur le sol. Un immense trou noir se créa dans mon esprit. Pire quand on mélange pétard et alcool lors d'une folle soirée. Je m'étais envolée dans un autre monde, un monde bien éloigné de la réalité. Ce n'est que quelques minutes plus tard que je revins à moi. Allongée sur mon lit, je fus immédiatement prise de panique. Ma respiration se coupa, l'air ne voulait plus entrer dans mes poumons, et moi, complètement apeurée, je n'arrivais pas à me calmer. Teddy, qui se trouvait près de moi, me prit la main. Mais ce geste ne me rassura guère. J'étais totalement paniquée, et à son regard, lui aussi. Sûrement parce qu'il ne comprenait pas ma réaction. Pour me calmer, il me prit dans ses bras. Sa chaleur près de moi eut comme réaction de me calmer. Me serrant fortement, je repris peu à peu ma respiration. Puis quand il vit la panique s'envoler, il m'affubla de question auxquelles je n'entendais que des bouts de mots. La sécheresse installée dans ma gorge me fit réagir et c'est non sans difficulté que je me levai du lit. En direction de la salle de bain, je fus stoppée dans ma course par Teddy qui m'avait devancé en m'apportant un verre d'eau. Pensant que la panique était passée, l'angoisse me prit de court. Je sentis mes yeux se mouiller et rapidement des larmes se mirent à perler sur mes joues. Des larmes qui se transformèrent en sanglot. Ne comprenant ma réaction, Teddy décida de prendre les choses en main en appelant mon dernier contact. Quand il eut fini, il comprit. Il comprit ce qui se passait, il comprit pourquoi je me retrouvai dans un tel état. Il me serra de nouveau dans ses bras. Je crois que nous sommes restés ainsi pendant de longues minutes, des minutes silencieuses pendant lesquelles aucun de nous deux parla. « Ta mère ... emmener ... hôpital ! ». Que des bribes de mots mais je compris là où il voulait en venir. Bien évidemment qu'il fallait qu'on aille à l'hôpital. Rejoindre mes parents, comprendre ce qui c'est réellement passée. La journée fut longue, et la soirée pire encore. Quand la nuit tomba et que je me retrouvai de nouveau à la maison, dans le lit où quelques heures plus tôt je riais avec mon petit ami, ce fut douloureux. À peine nous avait-il quitté, qu’il me manquait déjà. Les heures passaient mais le sommeil lui ne vint pas. Je restai allongé à fixer le plafond toute la nuit. Plus jamais je ne le reverrais, il s’en était allé, si jeune et de façon si stupide. Fichu surf. Une déchirure venait de s'ouvrir. Une déchirure qui risque de changer la personne que je suis. Plus jamais je ne serais la même, car plus jamais ma vie ne sera la même. Il ne me reste plus qu'une chose à faire, quitter Tofino. Trop de souvenirs qui regorgent à chaque coin de rues, une famille qui risque de me foutre la pression, bref … il faut fuir, fuir la réalité et se reconstruire.
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« Wyskie, c'est à ton tour, en scène ma belle ! Et pas de dérapages ce soir ! ». Alors que j'enfilais mes derniers accessoires qui ajustaient ma tenue de soirée, mon boss vint m'interrompre pour me faire de nouveau la leçon. Il est vrai que j'y suis allée un peu fort l'autre soir, mais ce type m'avait bien cherché. Une fois parée pour le show, je montai sur scène. Cela ne ressemblait en rien à des spectacles de magies, ou d'une chanteuse quelconque, sur scène je dévoilais mes formes à des hommes avides de sexe et sans gêne. Depuis mon départ de Tofino, il y a un an maintenant, la vie n'a pas été aussi aisée que je le pensais. Ce n'est pas simple de trouver un job convenable dans ce bas monde. Du coup avec mes bases de danseuses de ballet, c'est l'unique job que j'ai pu décrocher. J'ai dix neuf ans donc je bosse légalement . Ou pas, car au USA la majorité c'est vingt et un ans, donc je ne suis même pas certaine que ça soit légal. Oui, j'ai quitté le Canada et là je vis à Los Angeles. J'ai galéré pour venir jusqu'ici. Mais j'y suis. Je pensais que ça serait différent, mais la vie y est dure. Depuis que je suis môme, avec mon frangin on rêvait de venir surfer ici. Du coup c'est en sa mémoire, que j'ai effectué ce périple. Mais maintenant je dois enchaîner les jobs pourris pour tenter de m'en sortir. Ce soir, comme tous les soirs, j'effectuai mon show, récoltai des sous et m'en allai en coulisse. Ce métier me révulse, je le déteste mais ça paye bien alors je m'exécute en mettant de côté ma dignité, sauf que ce soir je pris la décision de lâcher ce job. Encore une fois mon passage a dérapé et cela c'est terminé en bain de sang. Déclencher une bagarre, encore une. Du coup sans même passer faire un petit coucou d'adieu à mon bosse, j'ai déguerpi le plus rapidement possible de cette boite pourrie. Une fois chez moi, dans mon misérable appartement, je me suis remise à penser au passé. Celui-ci me ronge sans cesse. Et pourtant je ne regrette pas d'être partie. J'en avais besoin. Rester dans une atmosphère si pesante m'aurait bouffé. Ce fut une bonne chose d'être partie, après à y réfléchir, y avoir laissé les êtres que j'aimais le plus, était-ce une bonne chose ? Il faut que je cesse de douter ainsi. Et puis dans cette ville, j'ai fais un tas de bonnes rencontres, comme ce Nikki.
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Pourquoi j'ai fais ça ? Arf et pourquoi pas ? Tromper ce n'est pas si grave, si ? Enfin sur le coup j'ai pensé que ça le serait pas, mais finalement le regret me guette. Nikki, je l'aimais bien et je l'aime encore, je crois. On était ensemble depuis un an, c'est même lui qui m'a aidé à trouver un autre job que celui de strip-teaseuse. On était bien, la vie était cool dans ses bras, on commençait même a avoir notre train-train quotidien. Mais voilà, il fallut que je gâche cette histoire pourtant si belle. La cause ? Grant. Grant et Wyskie, Wyskie et Grant, si ce n'est pas comique ça . C'était un client régulier de la boite où je bossais. Je l'appréciais bien, il était gentil et non une brute épaisse comme la plupart des gars qui fréquentait la boite. Il me respectait et venait simplement pour me voir, me parler et non pour me mater me déshabiller. Il était différent des autres clients, du moins en apparence. Il m'a complètement roulé dans la farine. Il m'a sorti de belles paroles, des paroles que même Nikki ne m'a jamais dis. Des paroles que j'ai bu sans même penser aux conséquences. Des paroles qui m'ont mené à baiser avec cet enfoiré. « A quoi tu penses ma belle ? » « Au jour où je te ferais bouffer tes boules, crétin ! ». Postée sur ses genoux, celui-ci appréciait de moins en moins mon humour noir. Mais si, il ne l'aime pas, qu'il aille voir ailleurs. Et pourquoi je ne le faisais pas, moi, aller voir ailleurs ? Par fierté peut être. J'ai quand même baisé avec ce type alors que j'étais encore avec Nikki. Et puis j'aime pas m'avouer vaincu. Putain de fierté quand même. Juste parce que je ne veux pas avouer à ce beau blond que je le kiffe grave, je reste avec ce débile. C'est con, mais je suis con. J'ai toujours agit ainsi, sans réfléchir et en me cachant. Je ne vois pas pourquoi cela va changer, et pour un mec. Mais quand même, c'est bien bête cette histoire.
Dernière édition par Wyskie "Suga" Criss le Dim 16 Oct - 16:00, édité 5 fois
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Sujet: Re: wyskie ▽ suga babe (the end) Dim 16 Oct - 10:34
une autre suuuga bienvenue ma vieille, et ginta est selon moi un choix véritablement ingénieux et réfléchis. bref elle est top quoi et puis bon courage pour la compétition
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Sujet: Re: wyskie ▽ suga babe (the end) Dim 16 Oct - 10:38
merci belle Ohianna, prénom bien original, j'aime
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Sujet: Re: wyskie ▽ suga babe (the end) Dim 16 Oct - 10:39
bienvenue très bon choix de scénario (j'dis ça à chaque fois, parce que tous les scénario étaient super bien)
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Sujet: Re: wyskie ▽ suga babe (the end) Dim 16 Oct - 11:40
Merci beaucoup Lize, ton avatars est sublime
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Sujet: Re: wyskie ▽ suga babe (the end) Dim 16 Oct - 11:43
shame on me, j'ai oublié de te souhaiter la bienvenue. alors je me rattrape bienvenue [...] bienvenue. j'espère vraiment que la compétition te fait pas peur. ton début de fiche est carrément bien. je sens qu'on va bien s'entendre niveau rp, si tu viens à finir ta fiche avant celle de l'autre suga
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Sujet: Re: wyskie ▽ suga babe (the end) Dim 16 Oct - 13:56
honte à toi tu mériterais la fessé pour la peine mais merci d'y avoir pensé quand même (à) et non la compétition ne me fait pas peur d'ailleurs je viens de terminer ma fiche
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Sujet: Re: wyskie ▽ suga babe (the end) Lun 17 Oct - 16:44
hé bien, te voici validée. suite à la non-réponse de ta concurrente alors que je lui demandais si elle voulait toujours continuer la "compétition", j'ai décidé de te prendre toi. sur ce bienvenue, j'ai adoré ta fiche. et bon jeu ma petite
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Sujet: Re: wyskie ▽ suga babe (the end) Lun 17 Oct - 16:53